Les français ne reconnaissent plus leur nation. Ils rejettent, dans une écrasante majorité, les dérives dans lesquelles notre pays s’installe et s’inquiètent de son évolution délétère.
Un sondage de l’IFOP, publié il y a quelques jours, le confirme sans ambiguïté : 75 % des français estiment « que la France est en déclin » ; 66 % disent ne plus « se sentir chez soi comme avant » ; 78 % des sondés disent que « la France est un pays de culture chrétienne » ; 81 % jugent « la justice trop laxiste » ; 69 % pensent que « la France a perdu sa souveraineté »…
Et pendant ce temps, quelques activistes auxquelles les médias accordent une importance surdimensionnée, continuent de saturer et de polluer l’espace de leurs fausses certitudes. Cette minorité qui « surfe » sur la soumission des « élites » politiques et culturelles, voudrait nous faire croire que les syndicalistes étudiants peuvent légitimement interdire leurs réunions aux Blancs ; qu’une municipalité française peut financer une mosquée inféodée à une puissance étrangère ; qu’il n’y a pas de place, dans les réflexions du moment, qu’à l’identité de genre, la religion ou la race…
Jusqu’où la France doucereuse tombera-t-elle ? Disons-le clairement : l’angélisme de la « France d’en haut » est au cœur de l’accélération de la décadence de notre pays. Les bons sentiments ont évacué la raison. Le rejet du conflit, socle du politiquement correct, autorise toutes les dérives. Le « vivre ensemble » est brandi comme l’antidote au choc des cultures dans une société morcelée !!! Ainsi, au prétexte d’éviter toute perspective d’affrontement avec l’islam conquérant, la République renoncerait à faire respecter la France, son peuple, son histoire. L’idéologie diversitaire, qui segmente la société en races, sexes ou religions, enfante des minorités plaintives qui déversent leur rancœur sur l‘homme blanc, ce privilégié, prié de faire profil bas dans sa patrie.
La France ne se sauvera du naufrage, causé par un monde politique cotonneux, qu’en retrouvant ses racines territoriales et populaires. Celles de tous ces français qui ont maintenu, eux, intacte la mémoire de leur héritage. Eux, savent d’où ils viennent et ce qu’ils veulent maintenir. Il est temps de constater l’absurdité d’un demi-siècle de « soft power » !!! L’urgence pour la nation anémiée est de se redécouvrir et de s’aimer comme française, dans ses valeurs.
