Ils sont de plus en plus nombreux. On les trouve dans les moindres recoins de notre Périgord noir mais aussi de nos campagnes françaises. Ils sont maraîchers, éleveurs, artisans, pêcheurs, femmes, hommes, couples, solitaires, néo-ruraux inventifs ou héritiers de traditions anciennes…
La ville de Sarlat s’était portée candidate pour intégrer le programme « Petites Villes de demain ». Son dossier vient d’être retenu avec à la clé un soutien logistique et financier pour accompagner son projet de revitalisation.
Start-up, ingénieurs ou designers multiplient les initiatives pour recycler intelligemment les déchets dans le but de transformer positivement notre cadre de vie mais aussi de sensibiliser les consommateurs que nous sommes aux problématiques environnementales.
A quoi ressemblera l’activité commerciale de demain ? Telle est la grande question à laquelle la ville et les commerçants vont tenter de répondre dans les semaines à venir.
L’achat et la vente d’objets d’occasion semblent entrer dans les usages des Français. Le site internet Vinted, leader de la seconde main en France, figure désormais dans le top 5 des sites d’e-commerce les plus consultés…
Pour l’instant tout va bien. La France, qui a vu son taux d’endettement public explosé et s’envoler de 20 points en quelques mois pour atteindre 120% du PIB, arrive encore à se refinancer sur les marchés financiers à taux négatifs grâce à la politique accommodante de la BCE et à la confiance des investisseurs étrangers.
Dans le cadre de la démarche durable, mais aussi de réduction des déchets à la source initiée par le SICTOM du Périgord Noir, le comité syndical du 06 décembre 2019 a décidé de lancer une opération de récupération et de recyclage des mégots de cigarettes en disposant des cendriers dédiés à cette collecte dans les endroits publics.
Le Maire de Lyon nous indiquait récemment que « le Tour de France continue à véhiculer une image machiste du sport et n’est pas écoresponsable ».
A quoi ressemblera l’activité commerciale de demain ? Telle est la grande question à laquelle la ville et les commerçants vont tenter de répondre dans les semaines à venir.
Source : Sud Ouest
Auteur : Titia Carrizey-Jasick