Les réactions suscitées dans la presse locale et sur les réseaux sociaux par la récente publication des observations définitives de la Chambre Régionale des Comptes Nouvelle Aquitaine sur la gestion et les comptes du SICTOM du Périgord Noir pour la période allant de 2013 à aujourd’hui auront au moins eu un mérite :
Le cauchemar se poursuit dans le monde de l’événementiel. Jour après jour, mois après mois, la longue liste des manifestations annulées ne fait que s’allonger. Marchés de Noêl, salons, festivals, actions culturelles …
Natif du village où il est élu depuis 1989, le Maire de cette commune a vu au fil des années, les commerces baisser leur rideau et les services publics disparaitre : la Boulangerie en 2014, la Boucherie en 2015, l’Epicerie-dépôt de pain et tabac un peu après, sans oublier la Poste. Il ne reste plus qu’un café et il risque de fermer dans quelques mois…
Source: Essor sarladais du 29 janvier 2021
Auteur: Nicolas Foucher
Les dégâts causés par la Covid-19 sont très importants s’agissant des vies humaines et pour notre économie. Aujourd’hui et bien plus encore demain. Mais sur le plan psychologique, ils le sont et le seront bien davantage du fait des restrictions de la liberté de circulation et des échanges humains.
Tout ce que l’année 2021 recelait d’espoir – sortie progressive de la crise sanitaire, retour à nos vies d’avant et à une convivialité tant espérée, rebond économique rapide, réouverture des cafés, restaurants, bars, cinémas et lieux culturels – s’est déjà dissipée.
Il y a quelques jours la dauphine de Miss France a été la cible d’un flot d’insultes antisémites après avoir révélé ses origines. Ces injures à caractère raciste et incitant à la haine raciale ne peuvent que provoquer indignations et provoquer à nouveau un vaste débat sur la place et l’attitude des réseaux sociaux.
Il paraît que l’honnête citoyen a tort de s’inquiéter. Empêché d’exercer son métier, limité dans ses déplacements, masqué toute la journée, assailli de recommandations pour les moindres détails de sa vie privée, il entend depuis bientôt dix mois que c’est un virus qui suspend temporairement ses libertés, que la France n’est ni la Turquie ni la Corée…
Ils sont de plus en plus nombreux. On les trouve dans les moindres recoins de notre Périgord noir mais aussi de nos campagnes françaises. Ils sont maraîchers, éleveurs, artisans, pêcheurs, femmes, hommes, couples, solitaires, néo-ruraux inventifs ou héritiers de traditions anciennes…
La ville de Sarlat s’était portée candidate pour intégrer le programme « Petites Villes de demain ». Son dossier vient d’être retenu avec à la clé un soutien logistique et financier pour accompagner son projet de revitalisation.