
A toute chose, malheur est bon. La crise agricole, à défaut de régler tous les problèmes des paysans, aura au moins eu le mérite de calmer les ardeurs normatives de Bruxelles. Dans un acte rare de contrition, Ursula Von Der Leyen a enterré sans tambour ni trompette le projet visant à réduire de moitié l’usage des pesticides d’ici à 2030. C’était l’un des piliers du « pacte vert »...